Un nuisible qui affecte principalement les oiseaux, en particulier les poules. Ces parasites sont présents dans de nombreuses régions et peuvent causer de graves problèmes dans les poulaillers. Les poux rouges se nourrissent du sang des oiseaux provoquant des problèmes de santé chez l'animal et des risques de transmission de maladies.

Ophionyssus natricis, également connus sous le nom de parasites des terrariums, sont des acariens nuisibles qui affectent souvent les reptiles. Ces parasites se nourrissent du sang de leur hôte, provoquant des irritations cutanées, des démangeaisons. Ils sont plus fréquents chez les serpents, mais peuvent également infester d'autres reptiles tels que les lézards.

Souvent attirées par les matières organiques en décomposition, les déchets alimentaires et les excréments, certaines espèces de mouches peuvent également être des vecteurs de maladies en transportant des pathogènes d'un endroit à un autre. Leur capacité à se reproduire rapidement rend le contrôle des populations de mouches essentiel.

Ces parasites se nourrissent de la sève des feuilles, des fleurs et des tiges, laissant derrière eux des lésions argentées, des marques brunes ou noires et des déformations sur les parties attaquées des plantes. En plus de se nourrir, les thrips peuvent également transmettre des virus d'une plante à une autre.

Les araignées rouges, également connues sous le nom de tétranyques rouges, sont de minuscules acariens. Ces parasites se nourrissent de la sève des feuilles en perçant les cellules végétales, ce qui entraîne un jaunissement, un dessèchement et une chute prématurée des feuilles. Les signes typiques d'une infestation est l'apparition de fines toiles soyeuses et des taches blanchâtres sur les feuilles.

Ces parasites se nourrissent de la sève des plantes en insérant leur rostre dans les tissus végétaux, ce qui entraîne un affaiblissement de la plante, un jaunissement des feuilles, un retard de croissance et même la mort des parties infestées. Les cochenilles peuvent également sécréter une substance collante appelée "miellat", qui attire les fourmis et favorise le développement de la fumagine, un champignon noir qui tache les feuilles et entrave la photosynthèse.

Les vers blancs, ces petits ravageurs souterrains, peuvent se révéler être de redoutables ennemis pour nos pelouses et nos jardins. En se nourrissant des racines des plantes, ils causent d'importants dégâts qui se traduisent par un affaiblissement voire la mort des végétaux.

Les chenilles processionnaires du chêne, avec leurs rangées caractéristiques en file indienne, sont à la fois fascinantes et redoutables. Leur présence peut engendrer des ravages considérables dans les zones boisées et les espaces verts.

Les pucerons, ces minuscules insectes, peuvent se multiplier à une vitesse fulgurante et causer des ravages dévastateurs dans nos jardins et cultures. Leur appétit insatiable pour la sève des plantes les pousse à coloniser les feuilles, les tiges et les bourgeons, affaiblissant ainsi les végétaux et compromettant leur santé.

Les Otiorhynques, également connus sous le nom de charançons ou de vers gris, sont de petits coléoptères qui peuvent causer des ravages dans nos jardins et cultures. Ces insectes nocturnes ont un appétit vorace pour les feuilles et les racines des plantes, ce qui en fait de redoutables nuisibles.

Les Carpocapses, également connus sous le nom de vers de la pomme ou vers de la prune, sont de redoutables insectes ravageurs pour les fruits à noyau et à pépins. Leur appétit insatiable pour les fruits en croissance en fait une menace sérieuse pour les vergers et les cultures fruitières.

Ces charançons adultes mesurent environ 2 à 4 centimètres de long et ont un corps rougeâtre. Ils s'attaquent principalement aux palmiers adultes, mais peuvent également causer des dommages aux jeunes plants. Les femelles déposent leurs œufs près de la couronne du palmier, et une fois éclos, les larves creusent des galeries à l'intérieur de l'arbre, se nourrissant de la partie charnue du tronc.

Dans les jardins et les cultures, certaines espèces de fourmis peuvent s'attaquer aux jeunes pousses, aux fruits et aux graines, causant des dommages directs aux plantes. De plus, les fourmis sont connues pour leur association avec des pucerons et des cochenilles, dont elles "traient" pour obtenir du miellat sucré.

Ces mollusques se déplacent lentement mais efficacement, laissant derrière eux une traînée de mucus caractéristique. La nuit venue, lorsque l'humidité est plus élevée, elles sortent de leurs cachettes pour se nourrir. Elles attaquent en grignotant les feuilles et les tiges, laissant des traces de dévastation sur leur passage.

Le papillon du palmier est un insecte nocturne dont la femelle peut pondre jusqu'à 200 œufs sur la base des feuilles et le tronc des palmiers. Une fois écloses, les larves se frayeront un chemin à l'intérieur du tronc, se nourrissant de la moelle tendre et des fibres ligneuses. Cette activité destructrice affaiblit rapidement le palmier et entraîne un risque élevé de chute de l'arbre lorsqu'il devient instable.

Les pyrales du buis pondent leurs œufs sur les feuilles des buis, et une fois éclos, les larves voraces se nourrissent des feuilles, des tiges et des jeunes pousses. Leurs activités alimentaires laissent derrière elles des feuilles dévorées, des tiges dénudées et des buis qui se dégradent rapidement.